Une virée dans les collinettes bourguignonnes, un soir de juin. Les graminées ont envahi le paysage, dans les champs de céréales, dans les prairies, sur les bords des routes. Je ne me lasse pas de leur omniprésence, subjuguée par les effets graphiques que procure leur répétition, et leurs mouvements ondulants lorsqu'elles se laissent prendre au jeu du vent.
Et comme il n'y a eu que très peu de participants dans les temps, je prolonge ce petit concours jusqu'à la fin du mois d'août!
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